Tout pour elle. (Pastiche de Tourterelles de Lilasys)
J’effeuille et glisse souvent sur un coup,
Ma sueur qui dans l’instant oblitère mon dôme,
Elle n'est pas l’atlantique, mais tout comme,
C’est ma récréation, c’est ma figure de proue.
Quand les vieux veillent en archange,
A l’entresol les festins fabuleux,
Ceux qui abêtissent, restent toujours affreux,
Mais l’envie écharpera toutes ses fausses louanges.
Menons l’enquête sans aucune indulgence,
Pour que la foi distante ne reste prière de vieux,
Mais qu’elle se dédoublent en puissance de dieu,
En faim d’envie comme une récompense.
Tout pour elle, je ne m'en suis pas allé,
Redonnant l’esprit avant un hiver que je veux langoureux,
Mon seau de bonheur devient un peu plus joyeux,
Frileuse ou volage, je ne peux que l’animer.
TOURTERELLES... de Lilasys
Les feuillent périssent au vent qui secoue
La fleur qui avec le temps altère son arôme
Tout n'est pas aussi antique que Rome
Mais la création est une immense roue
Dans les cieux sommeillent les anges
Au sous sol les destins ténébreux
Ceux qui aboutissent laids et boiteux
Mais la vie s'échappera quelque soit le lange
Etre en quête de subites clémences
Pour nos sois dis-ante prières Ô Dieux
Mais qui ne troublent qu'un pauvre vieux
En fin de vie dans sa pénitence
Les tourterelles s'en sont allées
Abandonnant le nid durant l'hiver rigoureux
Oiseau de bonheur revient nous plus soyeux
Rieuse ou sauvage nous devons vous aimer .....
LILASYS
J’effeuille et glisse souvent sur un coup,
Ma sueur qui dans l’instant oblitère mon dôme,
Elle n'est pas l’atlantique, mais tout comme,
C’est ma récréation, c’est ma figure de proue.
Quand les vieux veillent en archange,
A l’entresol les festins fabuleux,
Ceux qui abêtissent, restent toujours affreux,
Mais l’envie écharpera toutes ses fausses louanges.
Menons l’enquête sans aucune indulgence,
Pour que la foi distante ne reste prière de vieux,
Mais qu’elle se dédoublent en puissance de dieu,
En faim d’envie comme une récompense.
Tout pour elle, je ne m'en suis pas allé,
Redonnant l’esprit avant un hiver que je veux langoureux,
Mon seau de bonheur devient un peu plus joyeux,
Frileuse ou volage, je ne peux que l’animer.
TOURTERELLES... de Lilasys
Les feuillent périssent au vent qui secoue
La fleur qui avec le temps altère son arôme
Tout n'est pas aussi antique que Rome
Mais la création est une immense roue
Dans les cieux sommeillent les anges
Au sous sol les destins ténébreux
Ceux qui aboutissent laids et boiteux
Mais la vie s'échappera quelque soit le lange
Etre en quête de subites clémences
Pour nos sois dis-ante prières Ô Dieux
Mais qui ne troublent qu'un pauvre vieux
En fin de vie dans sa pénitence
Les tourterelles s'en sont allées
Abandonnant le nid durant l'hiver rigoureux
Oiseau de bonheur revient nous plus soyeux
Rieuse ou sauvage nous devons vous aimer .....
LILASYS