L'âme maternelle
Ne voulant point être éphémère,
Démontre les splendeurs de son âme
Sans avoir les moindres états d'âmes
N'être seulement cette aimante mère.
Qui efface en délicatesse les tourments,
De l'enfant qu'elle chérit
Elle veille sur celui-ci sans bruit
Ne cesse de le couvrir de sentiments.
De ses mains qui caressent,
Cet ange souriant avec aisance
Dont le regard fut en effervescence
Sur l'une de ses joues, la douceur des lèvres maternelle paressent.
Ne voulant point être éphémère,
Démontre les splendeurs de son âme
Sans avoir les moindres états d'âmes
N'être seulement cette aimante mère.
Qui efface en délicatesse les tourments,
De l'enfant qu'elle chérit
Elle veille sur celui-ci sans bruit
Ne cesse de le couvrir de sentiments.
De ses mains qui caressent,
Cet ange souriant avec aisance
Dont le regard fut en effervescence
Sur l'une de ses joues, la douceur des lèvres maternelle paressent.