Sans amour, sans ami(e)s
Son âme souffre encore
Sa tête, son cœur, son corps
Je le sais que trop bien
A peine éveillée le matin,
Que déjà elle se languit
Du temps qui lentement passe.
Esseulée dans son grand lit
Sans fin elle ressasse,
Cet amour qu'elle a perdu
Ne reviendra jamais plus.
Cette douce mélancolie
Lentement la détruit.
Elle veut tout cacher
Rester enfermée
Sans amour, sans amis
Elle se dépérit.