Sans peur, sans klaxon. (Pastiche de sans fleur, sans couronne de Lilasys)
Un écrit lugubre, je me suis imposé, tu me combles,
Sans me morfondre, ainsi soit-elle, je le sens beau,
Un parfum sidéral embaume mon chapeau,
En ville, son corps beau fait rugir sa grâce, il flambe.
Sans peur, sans klaxon, seule face, envieux,
En un tour, ma belle brune, ton preux s’est avancé,
Dans ces lames que je viens de m’imposer,
Oh ! Vieux, ton envie ne suffit pas à reprendre peureux.
Je devrais raconter la saga de mes grolles,
Médire, pourquoi ! je suis resté coquin,
J'invente, je doute seul face à mon parchemin,
Ma contrefaçon est alléchante, mais moins drôle.
La foi se mêle en colique toutes les fois,
Pour des jeunes parenthèses, tu vois, tu m’entraînes,
Je me suis découvert une lentille grossissant ma veine,
Un tour, mon parti, en délaissant ta voix.
Sans fleur, sans couronne... de Lilasys
Quel cri lugubre s'est posé sur ta tombe
Aussi profonde soit-elle je sens ta peau
Cette arôme si spéciale qui embaume tes os
Le vil corbeau a fait fuir la gracile colombe
Sans fleur ni couronne, seul face à Dieu
En ce jour de pleine lune tes vœux sont exaucés
Malgré les larmes que je viens de déposer
Ô Dieu une vie ne suffit pas à rendre heureux
Tu pourrais me conter des choses plus drôles
Me dire pourquoi tu es parti si loin
N'invente pas, ne rajoute rien à mon chagrin
Des histoires plus charmantes ou moins folles
La voix la plus mélancolique des mois
Sur mes vieilles charentaises, tu vois je traîne
Je me suis couverte d'une mantille de peine
Ce jour où tu es parti me laissant sans voie ..
LILASYS ...
Un écrit lugubre, je me suis imposé, tu me combles,
Sans me morfondre, ainsi soit-elle, je le sens beau,
Un parfum sidéral embaume mon chapeau,
En ville, son corps beau fait rugir sa grâce, il flambe.
Sans peur, sans klaxon, seule face, envieux,
En un tour, ma belle brune, ton preux s’est avancé,
Dans ces lames que je viens de m’imposer,
Oh ! Vieux, ton envie ne suffit pas à reprendre peureux.
Je devrais raconter la saga de mes grolles,
Médire, pourquoi ! je suis resté coquin,
J'invente, je doute seul face à mon parchemin,
Ma contrefaçon est alléchante, mais moins drôle.
La foi se mêle en colique toutes les fois,
Pour des jeunes parenthèses, tu vois, tu m’entraînes,
Je me suis découvert une lentille grossissant ma veine,
Un tour, mon parti, en délaissant ta voix.
Sans fleur, sans couronne... de Lilasys
Quel cri lugubre s'est posé sur ta tombe
Aussi profonde soit-elle je sens ta peau
Cette arôme si spéciale qui embaume tes os
Le vil corbeau a fait fuir la gracile colombe
Sans fleur ni couronne, seul face à Dieu
En ce jour de pleine lune tes vœux sont exaucés
Malgré les larmes que je viens de déposer
Ô Dieu une vie ne suffit pas à rendre heureux
Tu pourrais me conter des choses plus drôles
Me dire pourquoi tu es parti si loin
N'invente pas, ne rajoute rien à mon chagrin
Des histoires plus charmantes ou moins folles
La voix la plus mélancolique des mois
Sur mes vieilles charentaises, tu vois je traîne
Je me suis couverte d'une mantille de peine
Ce jour où tu es parti me laissant sans voie ..
LILASYS ...